[6ème Conférence du fundraising pour la culture] Atelier 7 : Quelle combinaison gagnante entre fonds privés et fonds publics pour faire émerger des projets culturels ambitieux ?

Le 25 novembre 2015

Pyramide du Louvre, Opéra Bastille, musée du Quai Branly… Depuis des décennies, le rayonnement culturel français s’appuie sur de grands projets nationaux, portés par la puissance publique, et impulsés par la volonté politique. La fameuse « exception culturelle » française, bien que souvent mise à mal ces dernières années, s’incarne toujours dans ces équipements ambitieux et dans les projets culturels qu’ils mettent en oeuvre. Pourtant, face à une crise économique durable, repenser leur modèle économique est une nécessité. Le recours au financement privé est aujourd’hui indispensable à plusieurs égards.

Dès lors, comment permettre à des mécènes ou des philanthropes individuels de trouver leur place au sein de ces « étendards » culturels ? Quelles combinaisons sont possibles avec la puissance publique, sans laisser à penser aux mécènes qu'ils font « à la place de » ? Y a-t-il des pièges à éviter ou au contraire des atouts à mettre en avant dans ce type de propositions ?

Les exemples de la Philharmonie de Paris et du tout nouveau centre culturel Hip Hop, La Place, permettront de donner quelques clés aux défis qui peuvent se poser pour le monde culturel.

Augustin Debiesse (Equanity), Zoé Macêdo (Philharmonie de Paris) et Nolwenn Semana (La Place).

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