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Legs : les causes médicales avant tout

Legs et donations .

Publié le 29 septembre 2017

Mi-septembre, à l’occasion du congrès des notaires, l’Institut Gustave Roussy a dévoilé son premier baromètre des legs, réalisé avec l’Ifop en juillet dernier. Que révèle cette enquête ? D’abord, que plus de 8 Français sur 10 savent qu’ils ont la possibilité de faire un legs à un organisme d’utilité publique, et même que près d’un senior sur sept est prêt à passer à l’acte. Mieux, « ce chiffre grimpe à 22 % quand les seniors n’ont pas de descendance ».

C’est donc une très bonne nouvelle pour le secteur. Qui va devoir néanmoins continuer à se montrer pédagogue. En effet, pointe le Baromètre, les démarches à suivre pour faire un legs sont toujours aussi mal connues : « Même si 40% des seniors affirment les connaître, ils ne sont que 9 % à être bien au fait ». Les notaires, mais aussi et surtout les associations, ont donc du pain sur la planche pour expliquer, et réexpliquer inlassablement la conduite à tenir, si elles veulent voir augmenter significativement cette ressource.
Sans surprise, les causes privilégiées sont d’abord la recherche médicale, mais aussi l’aide aux malades, la lutte contre l’exclusion et la protection de l’enfance et des animaux.

Pour retrouver le Baromètre, rendez-vous ici.

++ Retrouvez aussi dans le prochain numéro de votre magazine Fundraizine un dossier consacré aux legs, « une ressource qui n’a pas dit son dernier mot ».

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