Pourquoi des horodateurs – qui manquent, a priori, d’un rien de sex-appeal ? « L’idée est d’utiliser ces horodateurs très laids – que les gens prennent habituellement comme une contrainte, alors qu’ils permettent d’assurer une bonne rotation du stationnement – comme une vitrine et un support d’expression pour ces artistes qui ont parfois du mal à se faire connaître du grand public. C’est une façon de leur permettre de se rendre plus visibles dans l’espace public », expliquait Benoît Mercuzot, l’adjoint au maire en charge des finances, dans Le Courrier Picard, en juin dernier.


Du bon pour les artistes, pour les commerçants, pour les Amiénois, et pour promouvoir l’achat de tickets de parcmètre… C’est ce qui s’appelle du gagnant-gagnant !

Illustration : © Le Parisien