Faut-il tout faire pour plaire aux donateurs ? La collecte justifie-t-elle les moyens ? Le scandale a éclaté il y a quinze jours, en Grande-Bretagne. Un dîner de charité réservé au hommes – en ces temps où les réunions non-mixtes ont tellement mauvaise presse, l’information devrait faire hurler – était, comme chaque année, organisé dans un bar huppé de Londres en faveur de plusieurs « charities ». Sauf que cette année, le vent de « Metoo » était passé par là.