Avant tout, nous vous espérons - ainsi que vos proches et vos équipes - en bonne santé.

Télétravail. Evénements digitaux. Collecte en ligne. Nombre d'associations ont entamé au printemps une digitalisation un peu à marche forcée. Mais ce saut dans le grand bain a-t-il été l'occasion de commencer à repenser le digital comme une pièce centrale des stratégies associatives ? De se préparer à ce reconfinement de fin d'année. Et plus globalement à de nouvelles manières d'opérer en ligne.

Premier semestre 2020 : +22% de dons dans l'hexagone selon un baromètre France générosités tout juste publié, qui relève aussi un boom sans précédent du don en ligne et une mobilisation de toutes les catégories de donateurs. Aux USA, +21% de dons et +15% au Royaume-Uni selon d'autres études. Mais à qui profitent ces dons ? Et surtout, quel sera l'effet de la seconde vague sur la générosité ?

Premier semestre 2020 : +22% de dons dans l'hexagone selon un baromètre France générosités tout juste publié, qui relève aussi un boom sans précédent du don en ligne et une mobilisation de toutes les catégories de donateurs. Aux USA, +21% de dons en plus et +15% au Royaume-Uni selon d'autres études. Mais à qui profitent ces dons ? Et surtout, quel sera l'effet de la seconde vague sur la générosité

L'AFF est partenaire de l'enquête menée par l'European Fundraising Association (EFA) avec Salesforce.org, explorant l'impact de la Covid-19 sur le secteur à but non-lucratif à travers l'Europe. Les résultats seront anonymisés et publiés dans un rapport, qui sera librement accessible à tous les participants alors ne tardez plus et répondez ici à ce sondage.

L'heure de souffler un peu. Cette newsletter prend cette semaine sa pause estivale afin de vous retrouver début septembre, en pleine forme, nous l'espérons, et prêts à attaquer une fin d'année qui s'annonce chargée d'enjeux. C'est virtuellement, via cette lettre, mais surtout physiquement que nous avons déjà hâte de vous retrouver : en effet, nous vous avons préparé une Conférence de rentrée le 15 septembre, à l'Hôtel de Ville de Paris (pour plus d'infos et inscriptions, voir plus bas).

De New-York à Londres, les fundraisers étrangers aussi tentent de faire leurs comptes, d'évaluer l'impact de la crise. Aux USA, selon une étude menée en mai par l'AFP (Association of Fundraising Professionals), 56% des fundraisers estiment qu'ils collecteront moins en 2020 que l'année précédente, et une part équivalente pense que ce sera également le cas en 2021.

Visiblement engagées pendant le confinement mais potentiellement très touchées par la crise, comment se sont, et surtout comment vont, se comporter les entreprises mécènes ? Selon une enquête, quantitative et qualitative, menée par Admical auprès de soixante-trois structures, elles sont 86% à avoir mené des actions de mécénat spécifiques au Covid et 9% à en avoir l’intention, portant la part des entreprises – grandes ou petites – engagées face à cette crise à 95%.

Rebondir sur l'actualité pour réimposer sa cause. Utilisée à bon escient, la ficelle bien connue fait souvent mouche. Sauf si… tout le monde le fait. Nous n'y sommes pas encore mais les campagnes associatives jouant avec l'idée du geste barrière comme rempart contre un fléau, une injustice, commencent à se multiplier.

Fini l'IFI ? Cette année ce n'est pas la générosité des imposés sur la fortune immobilière que sonde le baromètre annuel Apprentis d'Auteuil – IPSOS, mais la "solidarité à l'épreuve du Coronavirus". La générosité déjà manifestée par les français en 2020 (1000 personnes sondées), celle qu'ils projettent pour la fin de l'année, et un focus particulier sur celle des hauts revenus (500 personnes dont les revenus du foyer sont supérieurs ou égaux à 120 000 euros nets par an).